Tax Sheltered Annuity

Une rente à l’abri de l’impôt, ou TSA, est un plan de retraite à long terme qui fournit un moyen systématique et à l’abri de l’impôt d’accumuler des fonds pour la retraite. Si quelqu’un travaille pour une école ou une autre organisation qualifiée de maison de thé couverte par la section 501(c) (3) de l’IRC, il peut accumuler de l’argent pour votre retraite dans un plan spécial à l’abri de l’impôt connu sous le nom de403(b). Un TSA réduit le revenu imposable actuel d’une personne. Les cotisations d’un CST sont exclues du revenu imposable courant d’une personne et les intérêts ou les gains en capital crédités sur le compte sont à imposition différée jusqu’à ce que le propriétaire commence à recevoir des distributions du CST. L’IRS a créé une formule connue sous le nom d’allocation d’exclusion maximale qui régit la contribution maximale qu’un propriétaire peut faire à un TSA dans une année donnée.

Un TSA offre un haut degré de sécurité financière. Les TSA sont généralement proposés sous la forme de rentes fixes ou de rentes sur indice boursier. Ces types de TSA sont garantis de ne pas rapporter moins qu’un taux d’intérêt minimum garanti indiqué dans le contrat de rente. Les annuités fixes sont adossées au compte général de la compagnie d’assurance. En outre, le fait d’avoir un CST ne réduit pas les autres prestations de retraite. Une personne peut recevoir des prestations TSA en plus de ses prestations de retraite. Les crédits de sécurité sociale ne sont pas affectésparce qu’ils sont déterminés par les revenus bruts d’une personne avant les cotisations de TSA.

Un TSA réduira les impôts sur le revenu d’une personne. Par exemple, dans cette illustration, si une personne gagnant 40 000 $ par an et $ 4 800 dans un CST, elle ne paiera des impôts que sur 35 000 $. À un taux d’imposition de 28 %, cela signifie que vous paieriez 1 344 $ de moins en impôt sur le revenu. S’ils ajoutent leurs économies d’impôt sur le revenu à leurs cotisations habituelles au CST, ils auront encore plus d’argent dans leur CST et réduiront à nouveau leur revenu imposable. À un taux d’imposition de 28 %, cela vous permettrait de mettre de côté 555,56 $ par mois avec le même salaire net que si vous aviez économisé 400 $ par mois avec un compte imposable. Par exemple, sur 10 ans, l’avantage du CST par rapport à un compte imposable s’élèverait à près de 31 000 $, en supposant un taux d’intérêt de 6,0 % pour les deux et aucun retrait. Sur 20 ans, l’avantage serait de plus de 101 000 $. C’est clair, un CST permet à quelqu’un de mettre davantage de côté pour sa retraite.

Généralement, la cotisation annuelle maximale qu’une personne peut déduire de son salaire est le moindre de seize et deux tiers de son revenu brut, sans dépasser 9 500 $. Depuis le 1er janvier 1998, le plafond de 9 500 $ a été porté par l’IRS à 10 000 $. Ce montant est également connu comme l’allocation d’exclusion maximale. Cette formule tient compte du salaire d’une personne, du nombre d’années d’emploi et des contributions antérieures aux TSA et autres plans qualifiés. En plus du calcul de l’allocation d’exclusion maximale, il existe également une « disposition de rattrapage ». Cette disposition est disponible pour une personne si elle a été employée par le même employeur pendant quinze ans ou plus et si la contribution maximale au titre de cette disposition est de 13 000 dollars. Si, pour une raison quelconque, une personne cesse de cotiser à son compte TSA, l’argent sur le compte continuera à produire des intérêts à imposition différée. Ni les frais de rachat ni le taux d’intérêt de la police ne seront affectés. Une personne peut reprendre ses cotisations à une date ultérieure. Les bénéficiaires recevront la valeur du compte d’un CST, sans pénalité, moins le solde de tout prêt en cours. Cette distribution n’a généralement pas à être soumise à l’homologation et est assujettie à l’impôt sur le revenu. Le propriétaire ou le bénéficiaire peut spécifier la façon dont les prestations sont distribuées sous la forme d’un paiement forfaitaire, de paiements mensuels ou annuels ou d’une combinaison, dans les limites de l’IRS.

Si une personne change d’employeur, elle a les options suivantes :

  • Continuer le régime chez son nouvel employeur si celui-ci est admissible et disposé à le faire. (Si cela est fait, toutes les restrictions et règles concernant les distributions de l’AST continueront de s’appliquer).
  • Laisser leurs cotisations TSA dans leur police pour continuer à accumuler des intérêts à imposition différée jusqu’à la retraite.
  • Commencer à recevoir des versements de rente de leur CSV
  • Retraiter la valeur de leur CSV.

Un CST peut être bénéfique à une personne même si elle prend sa retraite dans quelques années. Si une personne dispose d’une épargne disponible pour les dépenses courantes, elle peut souhaiter détourner une grande partie de son salaire pendant cette courte période pour profiter des avantages fiscaux substantiels d’un TSA. Il s’agit toutefois d’une décision individuelle, sur laquelle ils devraient demander un conseil fiscal compétent.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *